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Une femme est assise dans une voiture et tient un téléphone portable.
par Auto-école Tissier 21 octobre 2024
Depuis février 2024, la numérisation du permis de conduire en France marque un tournant décisif dans la modernisation des documents administratifs. Cette nouvelle mesure permet aux conducteurs de dématérialiser leur permis de conduire en utilisant l’application France Identité, développée par le gouvernement. Bien que le permis physique reste toujours en vigueur, la version numérique est désormais acceptée lors des contrôles routiers, facilitant ainsi la gestion de ce document​ Automobile Club Pourquoi numériser le permis de conduire ? La numérisation du permis de conduire s’inscrit dans une volonté globale de simplifier et de moderniser les démarches administratives en France. L’objectif principal est de rendre les justificatifs d’identité plus accessibles, tout en offrant une solution numérique pratique et sécurisée. Cela permet notamment aux conducteurs d’éviter de perdre ou d’oublier leur permis physique, en ayant toujours une version dématérialisée à portée de main via leur smartphone​ Blog Autosphere Comment fonctionne la numérisation du permis ? Pour bénéficier d'un permis de conduire dématérialisé, il faut : Installer l’application France Identité : Disponible gratuitement sur Android et iOS, cette application permet de générer une identité numérique. Vérifier son identité : Les utilisateurs doivent disposer d'une carte d'identité électronique récente (au format carte bancaire) pour charger leurs informations dans l’application. Ajouter son permis de conduire : Une fois l’identité vérifiée, les conducteurs peuvent ajouter leur permis en scannant le QR code figurant sur leur relevé d’information restreint (RIR), disponible via le site Mes Points Permis. Cela permet de générer une version numérique du permis directement sur l’application​ Automobile Club Quels sont les avantages de la numérisation ? Praticité et accessibilité : Avoir son permis sur son téléphone permet d'éviter les oublis ou les pertes du document physique. Il devient aussi plus facile de le présenter en cas de contrôle routier, même si le permis physique est toujours exigé pour certaines formalités. Sécurité renforcée : La version numérique est sécurisée grâce aux protocoles d’authentification mis en place par l’application France Identité. Chaque justificatif généré est à usage unique, limitant ainsi les risques de fraude. Démarches simplifiées : L'intégration du permis de conduire au sein de l'écosystème numérique permet de faciliter certaines démarches administratives, comme le suivi des points ou la gestion des demandes de duplicata​ Jeme Propose Limites et précautions Bien que la version numérique du permis de conduire soit acceptée lors des contrôles en France, elle ne remplace pas encore entièrement le document physique. De plus, pour les personnes voyageant à l'étranger, le permis physique peut être nécessaire, car tous les pays n'acceptent pas encore les versions dématérialisées. Il est donc essentiel de continuer à conserver son permis physique en bon état et à jour​ Automobile Club Conclusion La numérisation du permis de conduire en France représente une avancée significative vers une modernisation de nos démarches administratives. Simple, pratique et sécurisée, cette solution dématérialisée permet aux conducteurs de toujours avoir leur permis à portée de main, tout en facilitant la gestion de ce document essentiel. Cette réforme s'inscrit dans un mouvement plus global de numérisation des services publics, visant à simplifier le quotidien des citoyens et à rendre l'administration plus accessible. La version numérique du permis n'est toutefois qu'une option complémentaire pour le moment, et le permis physique reste nécessaire dans certaines situations. Toutefois, cette innovation pourrait marquer le début d'une transformation encore plus vaste dans la manière dont nous gérons nos documents d'identité​. Jeme Propose
Une boîte blanche est posée au milieu d'un champ herbeux à côté d'une route.
par Auto-école Tissier 21 octobre 2024
Depuis le 1er janvier 2024, une nouvelle réforme est entrée en vigueur en France concernant la gestion des petits excès de vitesse. Désormais, les excès de vitesse inférieurs à 5 km/h ne sont plus sanctionnés par un retrait de point sur le permis de conduire, mais uniquement par une amende. Cette décision, inscrite dans un décret du 6 décembre 2023, a pour but de dissocier les petites infractions de vitesse des comportements routiers plus dangereux, tout en simplifiant les sanctions pour les conducteurs responsables​ Jeme Propose Que change cette réforme ? Auparavant, un conducteur qui dépassait la limite de vitesse de moins de 5 km/h (par exemple, rouler à 55 km/h dans une zone limitée à 50 km/h) était sanctionné par une amende forfaitaire, ainsi qu’un retrait d’un point sur son permis de conduire. Depuis cette nouvelle mesure, ces petits excès de vitesse ne conduisent plus à une perte de point, mais uniquement à une amende, qui peut aller de 68 à 135 €, selon la gravité de l'infraction​ Jeme Propose Pourquoi cette réforme a-t-elle été mise en place ? La raison principale derrière cette réforme est de distinguer les conducteurs qui commettent des petits excès involontaires de ceux qui adoptent des comportements dangereux sur la route. Les autorités ont jugé qu'un excès de vitesse mineur, surtout dans des conditions où le conducteur peut ne pas avoir remarqué le dépassement de la limite de vitesse, ne devrait pas entraîner une perte de points, mais uniquement une contravention. Pour les défenseurs de cette mesure, cela permet d'éviter de pénaliser lourdement des conducteurs généralement responsables, qui risquaient de perdre leur permis pour des infractions mineures répétées. En effet, le retrait de points pour ces petits excès pouvait s'accumuler rapidement, menant parfois à des situations problématiques pour les automobilistes​ Jeme Propose Les réactions face à cette réforme Cette réforme n'a pas fait l'unanimité et a suscité un débat animé entre différentes parties. D'un côté, des associations comme 40 millions d'automobilistes soutiennent cette décision, affirmant qu'il est nécessaire de ne pas surpénaliser les conducteurs responsables pour des excès de vitesse mineurs, souvent involontaires​ Blog Autosphere Ils saluent la distinction entre les petits excès de vitesse et les infractions plus graves, qui mettent en danger la sécurité routière.D'un autre côté, des associations comme la Ligue contre la violence routière sont opposées à cette mesure, la qualifiant de "signal inquiétant". Selon ces associations, même de petits excès de vitesse peuvent augmenter les risques d'accidents, et toute infraction devrait avoir des conséquences plus strictes pour éviter une banalisation des comportements dangereux​ Jeme Propose Quelles sont les implications pour les conducteurs ? Pour les conducteurs, cette réforme signifie qu'ils ne perdront plus de points pour un excès de vitesse de moins de 5 km/h, mais devront toujours payer l'amende correspondante. Cela peut être perçu comme un soulagement, surtout pour ceux qui conduisent beaucoup et sont exposés à des excès de vitesse mineurs en raison des conditions de circulation ou de la configuration de la route. La suppression du retrait d’un point pour les petits excès de vitesse est une réforme qui vise à simplifier le système de sanctions et à éviter la surpénalisation des conducteurs responsables. Cependant, elle reste controversée et soulève des questions sur l'impact potentiel sur la sécurité routière à long terme. Il faudra suivre l’évolution des statistiques d’accidents pour mesurer l'effet réel de cette réforme sur le comportement des conducteurs et la sécurité des routes​ Blog Autosphere ​ Jeme Propose  Cette mesure s'inscrit dans un cadre plus large de réformes visant à moderniser le permis de conduire en France et à simplifier la gestion des infractions routières.
Un homme parle à un autre homme dans une voiture.
par Auto-école Tissier 21 octobre 2024
Depuis le 1er janvier 2024, une réforme clé du permis de conduire en France permet désormais aux jeunes de passer l'examen du permis B dès l'âge de 17 ans, une année plus tôt que le seuil fixé auparavant. Cette modification a été introduite par le décret n°2023-1214, et elle vise à faciliter l'accès à la mobilité pour les jeunes, en particulier ceux qui doivent se déplacer pour des raisons professionnelles ou scolaires. Pourquoi abaisser l'âge du permis B à 17 ans ? L’objectif principal de cette réforme est de permettre une plus grande autonomie aux jeunes dès la fin du lycée ou au début de leur entrée dans le monde professionnel. Avec de nombreux étudiants ou jeunes travailleurs ayant besoin d'un moyen de transport, cette mesure offre une réponse aux difficultés de mobilité rencontrées, surtout dans les zones rurales où les transports publics sont moins développés. Auparavant, il était possible pour les jeunes de 17 ans de conduire dans le cadre de la conduite accompagnée (AAC), mais ils devaient attendre l'âge de 18 ans pour conduire seuls. Désormais, les jeunes ayant passé avec succès l'épreuve du code de la route et effectué au minimum 20 heures de conduite (ou 13 heures pour la boîte automatique) peuvent obtenir leur permis de conduire complet dès 17 ans. Toutefois, il est important de noter que cette mesure est principalement valable en France, et que la conduite à l'étranger pourrait rester interdite pour les mineurs dans certains pays​ Automobile Club ​ Jeme Propose Les avantages de cette réforme Accès plus rapide à la mobilité : Passer son permis plus tôt permet aux jeunes d'acquérir leur indépendance dès la fin de leur formation secondaire ou lors de leur première année dans le monde du travail. Cela est particulièrement pertinent pour ceux vivant dans des régions mal desservies par les transports en commun. Soutien aux jeunes travailleurs : Pour beaucoup de jeunes, le permis de conduire est une nécessité pour accéder à des emplois éloignés de leur domicile. Cette réforme est donc perçue comme un levier d’accès à l'emploi. Réduction des délais d’attente : Avec cette réforme, le processus d’obtention du permis est accéléré. Les candidats peuvent dès 16 ans commencer à passer leur code et effectuer des heures de conduite, ce qui leur permet d'être prêts dès l'âge de 17 ans pour l’examen final. Quelques précautions à prendre Bien que cette réforme offre de nombreux avantages, certaines précautions restent de mise. Tout d'abord, les jeunes de 17 ans devront être particulièrement conscients des responsabilités qu’implique la conduite. En cas de sinistre, ce sont les tuteurs légaux qui devront répondre financièrement des accidents ou dommages causés par un mineur. De plus, les conducteurs de 17 ans doivent faire attention s'ils souhaitent conduire à l'étranger, car les règles varient selon les pays​ Blog Autosphere Impact pour les auto-écoles et les candidats Cette réforme a un impact direct sur les auto-écoles, qui doivent adapter leurs services pour accueillir de plus jeunes candidats. Avec un flux plus important de jeunes candidats, les auto-écoles doivent se préparer à former ces futurs conducteurs non seulement sur les bases de la conduite, mais aussi sur des aspects plus avancés comme la sécurité routière et la prévention des comportements à risque​ . L’abaissement de l’âge pour passer le permis B représente une avancée significative pour la jeunesse française. Elle offre une solution aux problèmes de mobilité et d’autonomie, tout en renforçant l’apprentissage de la sécurité routière. Cette réforme, bien qu’elle ne soit pas exempte de défis, est largement perçue comme une mesure positive pour accompagner les jeunes dans leur vie active. Cette transformation du permis B s'inscrit dans une série de réformes visant à moderniser et simplifier le processus d'obtention du permis, rendant la mobilité plus accessible à tous.
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